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Un Français sur cinq avoue se sentir ridicule au volant d’une voiture électrique
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LA REDACTION |  29/11/2021 16:06
Un Français sur cinq avoue se sentir ridicule au volant d'une voiture électrique

Et si le ridicule ne tue pas, il empêcherait tout de même 20% de la population de considérer acheter une voiture électrique. C'est la conclusion d'un sondage mené par OVO Energy.

Ridicule. Chaque mois charrie son lot de sondages plus ou moins instructifs à propos du futur des mobilités. Récemment, c’est OVO Energy en collaboration avec l’IFOP qui a choisi d’organiser un « match des mobilités » afin de prendre « le pouls des Français vis-à-vis de la transition vers des mobilités alternatives ». Et si dans les grandes lignes, certaines statistiques confirment des tendances déjà connues – une majorité de Français (66%) pense que les voitures à moteur thermique vont disparaître d’ici 20 ans tandis qu’ils y restent majoritairement attachés (79% en ont une image positive contre seulement 56% pour la voiture électrique) – d’autres sont plus étonnantes.

Ainsi « un Français sur cinq avoue qu’il aurait le sentiment d’être ridicule en conduisant une voiture électrique ».

Un Français sur cinq avoue se sentir ridicule au volant d’une voiture électrique.

Dépasser les bornes. Une personne sur cinq, ça semble anecdotique, mais il s’agit quand même de 20% de la population. Et c’est un frein réel à l’acquisition d’un véhicule électrique, donc le signe qu’il faut continuer à travailler sur l’image des mobilités propres. Sans grande surprise, les autres freins principaux à l’acquisition d’un véhicule électrique sont la « faible autonomie » pour 89 % des répondants, le « coût d’achat et de fonctionnement par rapport à un véhicule thermique » pour 87%, à égalité avec le manque de bornes de recharge électrique sur le territoire. Sur ce dernier point, les chiffres vont dans le sens des craintes françaises puisqu’avec près de 50 000 bornes publiques recensées fin 2021, on est seulement à mi-chemin de l’objectif des 100 000 bornes fixé par le gouvernement.

Comme une image. Toujours sur la question de l’image, l’étude interroge justement « les qualificatifs qui s’appliquent le mieux aux voitures électriques ». Et le premier est… « cher » à 60%. C’est donc peut-être un des premiers chantiers sur lesquels les constructeurs doivent plancher : rendre la voiture électrique plus accessible financièrement.

Si l’on trouve en deuxième place « silencieux » (à 56%), on constate tout de même que les Français interrogés associent des notions majoritairement négatives – « contraignant », « bobo », « gadget », « m’as-tu-vu » – à la voiture électrique. Pour une mobilité plus propre, la première bataille à gagner est donc peut-être celle de l’image.

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