
Pour se distinguer dans la jungle de la demande, la jeune marque propose du simple, solide et bon marché.
Shift happens. Avec la démocratisation du vélo électrique, les prix tendent à s’adoucir. Petit à petit, de nouveaux acteurs s’immiscent dans le secteur, portés par l’ambition de s’adresser à un panel de bourses le plus large possible. C’est exactement la philosophie de François Jacquet, le fondateur de Shiftbikes.
Montebourg likes this. Avec sa marque, le Normand cherche à produire le vélo haut de gamme le moins onéreux possible. Un modèle unique, unisexe, proposé en bleu nuit ou camel et fabriqué en collaboration avec la Manufacture Française du Cycle à Nantes. La promesse d’une production et d’un assemblage made in France.
Côté conception, on a un objet bien fait. Le cadre est en aluminium ouvert, le dérailleur est un Shimano à 8 vitesses et les roues de 26 pouces sont gratifiées de pneus Schwalbe. Le moteur, installé dans le moyeu de la roue arrière, affiche 250 Wh et la batterie, 460 Wh. Cette dernière permet d’effectuer en moyenne 70 km sur la même recharge ce qui, selon la marque, est « suffisant pour une semaine de trajets ». Elle est d’ailleurs amovible, ce qui s’avère fort pratique pour un chargement à domicile.
En précommande. Pour ne rien gâcher, la belle finition du Shift est plus qu’appréciable. Que ce soit au niveau du porte-bagage, de l’antivol de série ou de la selle Royal Gel (une des plus confortables du marché), tout est optimisé sur le plan de la qualité.
Pas encore sur le marché, l’engin est en revanche en précommande pour 1650 euros (tarif spécial) – ce qui est plus que convenable rapport à sa qualité – sur le site de la marque. Sans compter les diverses aides mises en place pour l’achat d’un VAE. À sa sortie, le Shift ne sera vendu que sur ce le site et non en boutique, à un prix de 1850 euros.
Plus d’infos sur le site officiel.