Seulement 8% de commission. VTC éthique, c’est l’argument phare de Rox, le service français de chauffeur privé qui veut concurrencer Uber à coups d’équité et de solidarité. « C’est-à-dire que les commissions que nous prélevons sur les chauffeurs sont beaucoup plus faibles, ce qui leur permet de mieux gagner leur vie », explique au micro d’Europe1 Yanis Kerdjana, cofondateur de la plateforme. Et pour cause : Rox ne prélève que 8% de commission sur les courses, contre 25 % pour le géant américain. Un montant dont la majeure partie « à chaque fois » sera reversée à une association caritative choisie par le passager au moment de commander sa course, parmi une dizaine pour le moment.

Aller plus loin qu’un VTC. Rox offre donc la possibilité d’œuvrer pour « l’aide à l’enfance ou l’entrepreneuriat social, ou encore la cause animale », précise le jeune entrepreneur. Ainsi, pour sa toute première course en juillet 2018, 1 euro a été donné à La Cloche, qui vient en aide aux sans-abri. « Quand Rox sera le standard de l’industrie, s’enthousiasme Yanis Kerdjana, ce sont plus de 40 millions d’euros en France qui seront reversés aux associations. » Double effet Kiss Cool pour le passager qui finit par aller plus loin que d’un point A à un point B dans le confort d’un taxi à prix abordable.

En phase de pré-lancement, Rox propose de réserver des courses vers et depuis les aéroports parisiens sans chichis via son Facebook Messenger, avec des prix garantis au départ. Une appli sortira dès 2019 pour circuler à la demande en Île-de-France.