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Reportage : une journée mobilité douce au festival Lollapalooza avec SEAT
PUBLICITÉ |  17/08/2022 10:55
Reportage : une journée mobilité douce au festival Lollapalooza avec SEAT

À l’occasion du festival Lollapalooza, qui avait lieu les 16 et 17 juillet à l’Hippodrome ParisLongchamp, SEAT a convié quelques influenceurs pour un test drive orienté sur la gamme mobilité douce du constructeur avec, au programme, un voyage vers le festival en scooter ou trottinette électrique. On était là, et on vous raconte.

Samedi matin, 10h30. Le rendez-vous est donné à l’hôtel Bachaumont dans le centre de Paris, à quelques pas de Châtelet. Un soleil de plomb est lui aussi présent. Une poignée de jeunes influenceurs lifestyle sont conviés par SEAT pour une journée “musique et mobilité douce” avec, au programme, le test des produits électriques du constructeur espagnol. Plus tard dans l’après-midi, le festival parisien et urbain Lollapalooza débutera à l’Hippodrome Paris Longchamp, avec David Guetta et Imagine Dragons en têtes d’affiche de cette première journée.

À peine le temps de boire un café que le parcours débute, direction le 16e arrondissement de Paris. Certains optent pour un scooter électrique SEAT MÓ 125 tandis que d’autres feront le trajet en trottinette électrique SEAT MÓ 65. C’est le cas de Loïc, 29 ans, à Paris depuis 2015 : « C’est la première fois que je teste une trottinette électrique, donc j’avais un peu d’appréhension. Et en fait, elle est super stable. La vitesse est limitée à 20 km/h donc, pour une personne qui débute, c’est top car on ne roule pas trop vite. » Les jeunes se rendent dans l’Ouest parisien en passant par les endroits les plus touristiques de la ville : les quais de Seine, les Invalides ou encore la Tour Eiffel. Loïc : « On a fait de la route, de la piste cyclable, des pavés : on se rend compte que les pistes cyclables sont quand même très agréables pour rouler en trottinette ».

SEAT MÓ 125 Lolapalooza Paris (c) SEAT

On the road. Gwen, 28 ans, avait déjà testé la trottinette SEAT MÓ 25 en octobre dernier. Elle compare : « Celle-ci est vraiment différente : elle est beaucoup plus stable et en plus des freins mécaniques, elle possède un frein électrique un peu comme sur un vélo ou un scooter. C’est plus naturel de rouler ainsi ». Elle poursuit : « Le plateau est aussi plus épais. Comme elle est plus lourde aussi on se sent mieux ancré à la route. » La trottinette, comme le scooter électrique, font partie des solutions de mobilité douce portées par l’offre SEAT MOVE lancée en septembre 2021, et qui permet via un abonnement mensuel de combiner 3 modes de transports : la trottinette, le scooter électrique et une voiture.

Pour ceux qui le souhaitent, il est aussi possible d’acheter individuellement les deux modèles de trottinettes électriques SEAT MÓ 25 et SEAT MÓ 65 ainsi que le scooter électrique SEAT MÓ 125 qui est également disponible en location mensuelle.

Ces solutions de mobilité sont destinées à un usage quotidien en zone urbaine. Pour Gwen, la SEAT MÓ 65 peut même devenir son moyen transport numéro 1 : « La SEAT MÓ 25, je la considérais comme un complément à d’autres modes de transport en commun. Mais celle-ci peut carrément remplacer tous les modes de transport. On a plus de confort et de sécurité et donc on peut faire plus de route. Et comme l’autonomie a triplé par rapport à l’ancien modèle, c’est jouable de l’utiliser pour faire les allers-retours au travail. Elle peut facilement se substituer aux bus ou au métro ». 

2 millions de Français lui ont déjà dit oui. Si la trottinette en ville est en train de devenir la vraie star (en 2021, 2 millions de Français se déplaçaient en trottinette), le scooter reste néanmoins plus rapide pour réaliser de plus longues distances. François, 32 ans, roule d’ordinaire avec une moto 125 « custom ». Il a donc l’habitude de manier les deux-roues. « En termes de fluidité et de prise en main, en cinq secondes tu te sens à l’aise sur ce scooter. Alors qu’avec une moto, tu as un temps d’adaptation plus long. Même l’accélération est hallucinante : au feu rouge, si je pousse à fond, personne peut me suivre. Elle a un plus gros démarrage que ma moto 125 », s’étonne presque le jeune homme.

“C’est générationnel : avec le temps les conducteurs vont s’habituer aux scooters sans bruit.”

L’engin possède trois modes — éco, city et sport — pour s’adapter aux différents types de conducteurs et il ne fait aucun bruit. Un aspect qui déstabilise un peu François. « Je suis de la vieille école Harley. Et je roule au bruit : par exemple je mets un coup d’accélérateur pour qu’on m’entende et pour me faire voir par les autres usagers, par exemple quand je vais doubler. Et là, personne ne m’entend. C’est clairement plus agréable pour les piétons et les cyclistes, mais c’est une différence de conduite, je trouve. » Pour cet ancien directeur commercial dans le secteur de la santé, les conducteurs vont s’habituer à rouler sans rouler des mécaniques. « J’ai un ami qui développe sa première moto électrique et maintenant, je le comprends mieux. Déjà parce que les thermiques sont voués à un avenir incertain, mais aussi parce que les capacités sont comparables : ça avance super bien, le démarrage est fou et on dirait qu’elles peuvent être plus puissantes que les thermiques. C’est générationnel : avec le temps les conducteurs vont s’habituer aux scooters sans bruit. Nos motos et scooters thermiques, on pourra toujours les sortir de temps en temps pour des usages plus rares. »

La nouvelle génération valide le changement. C’est officiel pour la majorité des influenceurs présents ce jour : les scooters et trottinettes sont validés. Mais que pensent les jeunes festivaliers du Lollapalooza de la mobilité urbaine ? Vérification sur place : Constantin, 29 ans, répond au micro en premier. « La mobilité, c’est un terme dont on parle beaucoup quand on se plaint, pour dire qu’il y a des travaux sur la route, qu’il y a trop de monde dans les transports, que les usages sont parfois dangereux, etc. ». Mais il a la solution : « Il faut développer la mobilité douce, mais il faut une législation claire autour de ça car plein de personnes ne respectent pas les règles. Beaucoup d’usagers, qui n’ont pas le code ou le permis de conduire, roulent n’importe comment en trottinette et à vélo en ville, et c’est dangereux. Mais s’il y a un vrai cadre avec des règles, ça pourrait apaiser les tensions. » Même son de cloche du côté de Justine, qui vient de Bretagne : « J’ai été surprise de voir le comportement des jeunes en trottinette à Paris. Il faudrait qu’elles soient munies d’une sonnette comme les vélos. » En vérité, c’est déjà le cas chez l’opérateur Dott, notamment. 

En finir avec la mobilité à deux vitesses. Felicia, originaire de Pau, est venue spécialement pour le festival. Elle marque un point : « : Il faut garder en tête la différence entre les grandes villes et la province. À Paris, à Lyon ou à Marseille par exemple, c’est normal de miser sur le développement des transports en commun et des mobilités douces. Mais pour les autres villes la voiture reste essentielle, donc il faut développer le co-voiturage. » La jeune femme voudrait d’ailleurs que les villes de « tailles moyennes » fassent davantage pour promouvoir une autre forme de mobilité : « J’habite à 10 minutes du centre-ville de Pau et je fais tout à pied. On est une génération de la flemme où l’on prend sa voiture même pour faire deux kilomètres. J’essaie de changer de comportement, pour moi et pour les générations futures. Mais à Pau, on n’a pas de trottinette. Ni à Bayonne ou à Biarritz d’ailleurs. Il n’y a pas de vélib. Il faut développer des alternatives à la voiture, mais pour l’instant, c’est encore faible. »

L’amie de Félicia, Daniella, concède qu’en ville, elle multiplie les modes de transport (vélo, trottinette, métro et VTC). « La trottinette c’est vraiment drôle et pratique à la fois. Et le vélo électrique ça régale. Et ce qu’il y a de bien avec le vélo, c’est que cela permet d’aller plus vite que le métro ou le bus aussi. Et puis t’es dehors à l’air libre.» Quand les températures s’approchent des 40 degrés, le petit vent de face à vélo ou en trottinette fait clairement partie des petits plaisirs. Et c’est ainsi que se termine cette journée, avec un clap de fin donné par le coucher de soleil sur Lollapalooza. Demain, les batteries, comme les festivaliers, auront le temps de refaire le plein. 

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