
L’abécédaire des makers
Il y a des mots qu’il faut connaître pour être en phase avec son époque, des concepts qui surgissent et annoncent le monde de demain. Souvent abscons au début, mais finalement puissants, comme le “clickbait”, les articles à clics !
Le mot
“Clickbait”, littéralement “l’appât à “l’appât à clics”. Ça ne vous dit rien ? Vous en croisez pourtant très régulièrement sur les réseaux sociaux : “Le chien aboie sur le facteur, sa réaction “Le chien aboie sur le facteur, sa réaction est choquante”, “vous ne devinerez jamais à quoi ressemble ce truc”, “cette femme marche dans la rue, ce qui va suivre va vous étonner”. Autant de titres racoleurs, voire mensongers, où l’on vous promet, chers le“vous ne devinerez jamais à quoi ressemble ce truc”, “cette femme marche dans la rue, ce qui va suivre va vous étonner”. Autant de titres racoleurs, voire mensongers, où l’on vous promet, chers lecteurs, des infos qui n’existent pas. Dans le jargon, “pute à clic” (ça, vous connaissez non ?) serait un “cette femme marche dans la rue, ce qui va suivre va vous étonner”. Autant de titres racoleurs, voire mensongers, où l’on vous promet, chers lecteurs, des infos qui n’existent pas. Dans le jargon, “pute à clic” (ça, vous connaissez non ?) serait un bon synonyme de clickbait…
L’histoire
Les clickbaits sont donc des titres d’articles “qui retiennent de manière intentionnelle des informations cruciales ou bien trompent les gens, et qui les obligent à cliquer pour trouver la réponse”, selon Facebook – rapporté par Les Échos – qui vient de déclarer la guerre contre ces appâts à lecteurs. Le réseau social voudrait les éradiquer de sa plateforme. Mais pas facile de trier le bon grain de Facebook – rapporté par Les Échos – qui vient de déclarer la guerre contre ces appâts à lecteurs. Le réseau social voudrait les éradiquer de sa plateforme. Mais pas facile de trier le bon grain de l’ivraie. Le géant du net a donc mis en Les Échos – qui vient de déclarer la guerre contre ces appâts à lecteurs. Le réseau social voudrait les éradiquer de sa plateforme. Mais pas facile de trier le bon grain de l’ivraie. Le géant du net a donc mis en place un nouvel algorithme, où sont répertoriés les clickbaits classiques. Dans Les Échos, les responsables de Facebook expliquent : Les Échos, les responsables de Facebook expliquent :
“Nous avons classé les dizaines de milliers de titres considérés comme étant clickbait en se basant sur deux points clés : si le titre retient les informations requises pour comprendre le contenu de l’article et si le titre exagère le contenu réel pour attirer le lecteur.”
Qui utilise le clickbait ?
Pas nous ! Promis. Les pionniers du genre sont Buzzfeed ou encore Gawker. Ce qu’on appelle des fermes de contenus, des sites qui publient des articles sans réelle valeur pour récolter des revenus publicitaires, sont les rois du clickbait. On vous laisse juger pour le reste !