
Entre la route, les airs et la mer, vous n’aurez que l’embarras du choix.
Métro-boulot-bateau. En 2030, la mobilité n’aura plus de limites physiques. À Paris par exemple, pour éviter les routes, les engins aquatiques prennent déjà de l’importance. Les Seabubbles de la startup suisse du même nom ont récemment été testés dans la capitale. L’engin est notamment capable de voguer comme de voler sur l’eau, porté par ses hydrofoils. Plusieurs grandes villes comme Montréal réfléchissent également à mieux utiliser l’espace et comptent mettre en place des systèmes de navettes fluviales.
En véhicules autonomes. C’est officiel, en 2022, les véhicules autonomes de niveau 4 (autonomie quasi totale) seront autorisés. Flottes de taxis, petites voitures à partager ou navettes, le choix sera large. La startup Zoox par exemple, qui développe des engins autonomes, compte proposer un service de taxis partagés dès 2020. Attention toutefois aux idées reçues : élaborées pour réduire les accidents et fluidifier le trafic, les voitures autonomes ne mettront cependant pas fin aux embouteillages.
Ou en taxis volants. Pourquoi pas aller au travail en volant ? Toutes les grandes compagnies comme Uber, Airbus et même Rolls-Royce annoncent l’arrivée imminente de taxis volants et souhaitent être opérationnels entre 2020 et 2030. Ce n’est qu’une question de temps (et d’infrastructures).
Les véhicules électriques individuels prennent le pouvoir. Trottinette, gyropode, e-sake et autre hoverboard sont de plus en plus plébiscités par les citadins. Légers, pratiques et pas excessivement chers, ces nouveaux modes de transports (re)deviennent à la mode. L’assureur Aviva estime que 3% des Français utilisent déjà ces objets, soit 1,5 million de personnes, et que 17% ont l’intention de les utiliser prochainement, soit 8,5 millions d’utilisateurs potentiels.
Bon et sinon, vous pouvez toujours utiliser la bonne vieille technique consistant à marcher ou à prendre un vélo, mais a priori, ce sera “sooooo 2015″.