
Un petit concentré de technologie qui comprend aussi la recharge sans fil. Le seul défaut de la Aether : elle est encore à l’état de concept.
Mobilité (encore plus) propre. Maintenant que les véhicules propres sont monnaie courante, de plus en plus de marques ou de designers imaginent des engins qui ne se contentent plus de ne pas saccager l’environnement, et s’emploient clairement à améliorer la qualité de l’air. C’est notamment le cas du designer taïwanais Lin Yu Cheng et son étonnante moto Aether.
Aspirateur à pollution. Si ses lignes ont été taillées dans un bloc de futur, le reste d’Aether n’en est pas moins visionnaire. À commencer par le système de purification de l’air dont il est doté. En roulant, l’air est aspiré dans les deux modules installés sur les côtés et ressort purifié (le tout sans consommer la moindre énergie). Une magie permise par des filtres en céramique (lavables et remplaçables) aptes à capturer les particules fines de moins de 2,5 micromètres.
Et comme une innovation n’arrive jamais seule, cette moto électrique possède également un système de recharge sans fil. Un vrai plus pour les allergiques au filaire (oui, ça existe). Ce dispositif fonctionnerait sur des places de stationnement équipées de ce type de recharge ou en roulant sur des routes compatibles avec la charge par induction. Niveau capacité, l’engin promet 200 kilomètres d’autonomie pour une recharge en 30 minutes ainsi qu’un moteur 80 kilowatts (environ 107 chevaux).
Robots ménagers. Encore à l’état de concept, la moto n’a pas encore de prix annoncé. Cela dit, vous pouvez vous tenir au courant en vous rendant sur la page du designer. Et si vous êtes amateurs de ce genre d’objets qui nettoient le monde sur leur passage, on ne peut mieux vous conseiller que de vous pencher sur cette roue qui (elle aussi) purifie l’air, ce scooter électrique qui combat les particules fines ou encore cet avion qui avale sa propre pollution. Bientôt les engins ne seront plus seulement propres, ils feront aussi le ménage.