
Si vous avez l’impression que ce modèle, imaginé par les Vietnamiens de Bandit9, n’est qu’un énième concept 3D, vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu'à l'omoplate. La version standard de ce scooter est d’ores et déjà disponible et coûte 4499 euros.
Une pièce de musée. Choisir son scooter, quand il est question de style, n’est pas une mince affaire. Mais pour ceux qui auraient envie de se déplacer autrement, voici le Nano, un scooter électrique conçu par l’entreprise vietnamienne Bandit9 basée à Saigon. Avec son style gris métallique en acier inoxydable et ses formes arrondies, l’engin possède un je-ne-sais-quoi futuriste, au point qu’il pourrait être créé par un certain Elon Musk.
Mais ce scooter destiné à la mobilité urbaine a été imaginé par une société qui dit se trouver à l’intersection entre « la science-fiction et l’art ». Et les premières photos dévoilent en effet un modèle à la fois sobre et élégant, le genre de véhicule avec lequel James Bond pourrait aller faire ses courses le dimanche matin.
I really like the clean design of the Nano scooter by Bandit9 pic.twitter.com/0rFgfJRvPU
— mark p bridges (@supercarrambler) September 30, 2022
Bandit9, qui a bien l’intention de venir marcher sur les platebandes de Vespa, annonce que son modèle standard possède une vitesse maximale de 45 km/h et une autonomie de 96 kilomètres. La version Nano + pourra quant à elle atteindre les 75 km/h avec la même autonomie. Contrairement au premier modèle, celui-ci exige un permis moto. Malgré l’acier et le métal, le poids du scooter est de 120 kilos. La batterie est amovible et se recharge complètement en l’espace de quatre heures. Maintenant, le prix ? Le Nano standard coûte 4499 euros et le Nano + est à 4990 euros.
Même si les pré-commandes sont ouvertes, la date de livraison n’est pas communiquée sur le site de Bandit9, tout comme les éventuelles frais liés au transport du scooter jusqu’en France. D’après leur site, tous leurs véhicules sont construits à la demande, une fois la commande passée, et en quantité limitée. La dolce vita a un prix : la patience.