Le regard dans le rétro. Chez les cyclistes les plus coquets, ce qui freine souvent l’achat d’un vélo électrique, c’est le physique. Ça, la toute jeune marque parisienne Cavale l’a bien compris et propose des engins élégants qui évoquent beaucoup de choses, mais jamais des VAE. Idéal pour se remettre en selle en faisant croire à tout le monde que vous pédalez à la seule force de vos mollets.

Rester en France. Derrière cette philosophie low tech poussée à l’extrême, les vélos Cavale misent avant tout sur la simplicité et la légèreté. Les bicyclettes sont épurées jusqu’à l’os – la batterie est bien dissimulée, on ne trouve qu’un seul bouton sur les commandes, etc – et n’affichent que 15 kg sur la balance (ça se porte plutôt facilement dans les escaliers). Rayon éthique, Cavale a opté pour du made in France pur et dur, la marque ayant même préféré former des soudeurs locaux pour le cadre plutôt que délocaliser leur fabrication. L’assurance d’une empreinte carbone on ne peut plus basse.

Seul point noir : avec 50 km au compteur, l’autonomie de l’engin est un brin faible.

Big bijoux. Avec des prix démarrant à 3450 euros, on sait que l’on achète des bicyclettes haut de gamme et fabriquées en France. Toujours au rayon des vélos électriques qui n’en ont pas l’air, on vous conseille de jeter un œil au Ruffian et sa dégaine de chopper pour rouler des mécaniques ou encore à l’Avionics VM, petit bijou réalisé par le duo de designers polonais Bartek & Jaromir.

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