
Le progrès imminent d’Internet va-t-il révolutionner notre ère ?
Internet est-il sur le point de connaitre son deuxième grand bond ? La start-up Blippar semble sur la bonne voie.
Ces derniers temps, l’actualité technologique nous a montré sans vergogne que l’Homme souhaitait repousser ses limites dans de nombreux domaines : la NASA s’apprête à ouvrir une sorte de musée dans l’espace, une start-up a lancé sa chaussure anti-gravité pour marcher dans la rue comme Neil Armstrong et l’implantation de faux souvenirs dans notre cerveau n’a rien d’une utopie transhumaniste. Mais avant de pouvoir effectuer des voyages spatiaux comme dans Star Wa marcher dans la rue comme Neil Armstrong et l’implantation de faux souvenirs dans notre cerveau n’a rien d’une utopie transhumaniste. Mais avant de pouvoir effectuer des voyages spatiaux comme dans Star Wars, faire des pas de géants comme un super-héros ou devenir RoboCop, une start-up britannique a décidé de voir grand tout en restant dans ll’implantation de faux souvenirs dans notre cerveau n’a rien d’une utopie transhumaniste. Mais avant de pouvoir effectuer des voyages spatiaux comme dans Star Wars, faire des pas de géants comme un super-héros ou devenir RoboCop, une start-up britannique a décidé de voir grand tout en restant dans les limites du réaliste : accroitre le potentiel d’Internet.
Start-up basée à Londres, Blippar travaille sur un concept de recherche web avancée. Oubliez les mots clés. Ici, l’outil permet de reconnaitre les objets du quotidien en les scannant visuellement grâce à la réalité augmentée. Un concept digne des plus grandes œuvres de science-fiction. L’entreprise a déjà levé plus de 54 millions de dollars, compte 200 employés et revendique plus d’1,5 milliards d’interactions sur sa plateforme. Des chiffres impressionnants malgré l’idée qui parait un peu bancale. En effet, Blippar va devoir héberger toutes les choses qui nous entourent au quotidien, d’un journal à un aquarium en passant par les animaux ou les monuments. On imagine déjà des grandes tours métalliques dans les campagnes voire même des satellites ultra-design en orbite de la planète.
Pour le moment, l’application peut reconnaitre des objets de façon brute, mais omet de nombreux détails. Par exemple, elle reconnaitra un smartphone, mais pas le modèle. Elle reconnaitra un chien, mais pas un labrador. Quelle sera la prochaine étape ? Des androïdes comme dans Blade Runner et Real Humans ? Lorsque son fondateur Ambarish Mitra s’exprime au micro de Business Insider, on croit entendre un individu singulier, à mi-chemin entre utopiste aveugle et mégalomane revendiqué : “Ce que je suis en train de construire est plus grand qu’Internet”.“Ce que je suis en train de construire est plus grand qu’Internet”.
Et bien que l’essor technologique en effraie certains, d’autres peuvent se réjouir. Avec son projet, l’entrepreneur pourrait offrir aux analphabètes un accès facilité à la plus grande source d’information de notre ère. Chaque médaille a son revers.