Si vous avez allumé la radio ou internet en 2018, durde passer à côté d’Eddy de Pretto et de son premier album « Cure ». Et comme tout roule pour lui, impossible de rater l’arrêt « Autopromo ». Hey dis, Eddy, on démarre ?
4A écouter les deux plus gros cartons depuis quelques mois, on se dit que les champions des ventes ont un rapport particulier à la… fiesta. De La fête est finie d’Orelsan à la Fête de trop d’Eddy de Pretto, c’est toute la France qui semble danser sur des hymnes à la fois dansant et plein de spleen, à l’image de l’homme au bonnet dont il est ici question, et qui a réussi en 15 morceaux à remettre Jacques Brel sur l’échelle de la hype avec une pop décomplexée lorgnant vers le rap.
Chouchou des médias, on a donc vu Eddy à peu près partout, sur tous les plateaux ; mais il lui restait encore à accrocher sa ceinture pour affronter les questions de Monsieur Poulpe, visiblement un peu groupie dans l’âme. Et comme le chanteur de Créteil « n’aime pas écouter la musique par style », comme on mangerait du poisson uniquement le vendredi, il a profité de cette rencontre pour interpréter son titre Random, seul avec son micro en main. Au moins cette fois, et pour citer Brel, on n’a pas envie de crier « au suivant ! ».
L’album « Cure » d’Eddy de Pretto vient de sortir et il s’écoute juste en dessous. Il est actuellement en tournée dans toute la France, au Zénith le 22 mars et les 6 et 7 novembre prochains à L’Olympia (et c’est déjà complet)