Elles reviennent. Après sept ans de plus ou moins bons et loyaux services, le service d’autopartage Autolib mettait la clé sous la porte en juillet 2018. Depuis, certains en sont nostalgiques et une info risque de leur secouer le palpitant : Autopuzz, un concessionnaire lorientais a acquis les stocks de Bluecars Bolloré (les fameuses Autolib) et propose désormais les dernières à la vente après les avoir reconditionnées.

Bon rapport qualité-prix. Pourquoi vouloir une Autolib en 2022 ? Avant toute chose pour se convertir à la mobilité électrique sans se ruiner. Proposées à partir de 4990 euros (batterie incluse), ces Bluecar remises à neuf sont très en dessous du tarif moyen des véhicules électriques (les premiers prix sont autour de 20 000 euros). Pour ce prix là, on n’obtiendra pas un bolide de course mais une petite citadine qui n’a pas à rougir de ses performances : 110 km/h de vitesse max et une batterie qui permet une autonomie de 250 kilomètres en ville et 150 kilomètres sur route. Le tout pour un temps de charge compris entre 8 et 10 heures. 

Autolib : moins de 200 Bolloré Bluecar en vente pour 6 000 euros pièce ! ⤵https://t.co/1lQVttPTGS

— TURBO M6 (@turbofr) December 8, 2022

RDV manqué. Outre l’opportunité d’accéder à la mobilité électrique à moindre frais, cette opération permet également de sauver de la casse une flotte de véhicules toujours fonctionnels. Lancée en 2011 par le prédécesseur d’Anne Hidalgo, Bertrand Delanoë, Autolib connait un succès réel dans un premier temps avant de s’essouffler, peinant notamment à faire face à l’arrivée des VTC et d’Anne Hidalgo qui acte le retrait progressif du service. Un rendez-vous manqué entre Paris et l’autopartage qui pourrait, des années après, faire des heureux chez les potentiels acquéreurs de Bluecars. 

Plus de renseignements sur le site : www.adieulessence.com