
(Presque) en direct de (presque) Los Angeles, la rédaction vient de se réunir pour élire les idées les plus marquantes de l’année 2016. On a ressorti tous les classeurs, passé un rapide coup de fil à Emma Stone, et les lauréats sont…
Oscar du meilleur premier rôle : Elon Musk, forcément ! Franchement, hormis l’homme derrière Paypal, Tesla, Space X et bientôt la colonisation de mars, qui d’autre ?
Oscar du meilleur second rôle : Norma, la mamie atteinte d’un cancer (ça commence mal) qui refuse de baisser les bras et qui se lance à 90 ans dans un road-trip (ça se finit bien).
Oscar du meilleur espoir féminin : Kiara Nirghin, pour avoir été la lycéenne sud-africaine qui a déniché l’arme anti-sécheresse. À seulement seize ans, elle a trouvé comment créer des réservoirs naturels à partir de la peau d’orange.
Oscar du meilleur espoir masculin : Timothée Boitouzet, parce que le Français pense que les villes du futur seront en bois. C’est vrai que c’est pas une idée en carton.
Oscar du meilleur film : l’épisode 3 des aventures du musicien The Avener à Barcelone, parce que l’auteur de Fade Out Lines y faisait une rencontre étonnante avec le sound designer de SEAT.
Oscar de la meilleure musique : Weightless de Marconie Union. Ça ne vous dit rien et vous ne comprenez pas ce choix ? Attendez, des neurologues viennent de découvrir qu’il s’agirait de la chanson la plus relaxante de l’univers…
Oscar des meilleurs effets spéciaux : à l’unanimité, la voiture volante de Terrafugia qui devrait être commercialisée en 2017. Nom de code de cet engin digne de Retour vers le futur ? La TF-X. Ça fait très hollywoodien, c’est sûr.
Oscar du meilleur scénario : Des chercheurs qui pensent qu’on vient tous de l’espace, avouez que ça pèse plus lourd qu’un énième blockbuster de fin du monde, non ?
Oscar de la meilleure photographie : Qui dit cinéma dit forcément éclairage et c’est ainsi que la startup Digitalarti s’est imposée sur la première marche du podium grâce à ses LED intelligentes.
Oscar de la meilleure photographie : La baie de Toyoma, pour ses splendides lumières éphémères. L’histoire ne dit pas si Thomas Pesquet a pu les apercevoir depuis l’espace.